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De plus en plus de Belges optent pour la crémation
Longtemps restée tabou, la crémation semble petit à petit se frayer une place aux côtés de l’inhumation. Penchons-nous sur ces chiffres en augmentation et comparons-les en regard du monde.
Bref historique de la crémation
Comme nous le savons toutes et tous, la crémation est une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps d’un être humain décédé. Le plus ancien cas de crémation connu à ce jour remonte à plus de 22.000 ans. Le premier corps calciné aurait été celui d’une jeune femme australienne. Déjà pratiqué au cours de l’Antiquité et du Moyen-Âge, cette pratique s’est davantage institutionnalisée en Asie à travers le bouddhisme et l’hindouisme.
Crémation et croyances
La crémation n’est pas tolérée, voire carrément interdite, par bon nombre de religions. L’Islam, l’Église orthodoxe, le Judaïsme et le Catholicisme, par exemple, s’y opposent. La majorité des protestants n’y voient pas d’objection, de même en ce qui concerne le Christianisme. L’Église catholique romaine la tolère mais ne la conseille pas. Les avis quant à la crémation sont donc loin d’être unanimes.
La crémation chez nous
Bien que très ancienne, il aura fallu attendre le 10 mars 1932 avant qu’elle ne soit autorisée par la loi sur le territoire belge. La Belgique a donc souffert d’un retard en la matière. Cependant, d’années en années, cette pratique tend à se répandre.
En effet, si en 1990 elle n’était pratiquée que dans 20% des cas, en 2014, 56,3% des défunts étaient incinérés. Les chiffres sont en augmentation constante.
La crémation à travers le monde
Nous sommes à la traîne au regard de ce qui se pratique dans d’autres pays du globe. Au Japon, par exemple, elle est pratiquée dans 99,8% des cas! La statistique en Suisse s’élevait en 2010 à 89% contre 70% pour le Royaume-Unis. Néanmoins, d’autres souffrent d’un énorme retard en la matière comme l’Italie (8,5%) ou l’Espagne (19,3%).
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